lundi 17 novembre 2008

De retour

Bon, je sais, j'avais annoncé mon retrait du forum. C'est toujours le cas mais je tenais à diminuer les propos alarmistes que j'ai pu mettre à chaud. D'où ce message.

Pour Laure aussi bien que pour moi, ces derniers jours ont été les plus durs de notre vie et nous ne sommes sans doute pas sorti de nos coups de cafards et de cette douleur au coeur. Cependant, grâce aux coups de fils des amis et de la famille, nous recevons un peu de réconfort. Bien sûr, ils n'enlèvent pas toute la peine, loin de là, mais ils nous font du bien. Et pour cela, je vous remercie.

Me concernant, j'ai revu les gens du ministère et je saurai normalement à la fin de la semaine si un embarquement est possible. Si cela ne l'est pas, je pense aller sur la côte est bosser dans une ferme. Une activité physique étant ce dont j'ai le plus besoin en ce moment.

Encore merci pour les messages de soutiens, passés et à venir car j'en aurai sans doute encore besoin et Laure aussi.

vendredi 14 novembre 2008

Retour à terre plus difficile que prévu

J’écris ce message à chaud en ce 14 novembre au soir. Cela fera un choc à un bon nombre d’entre vous alors autant y aller cash. Laure et moi, c’est fini. Et vous ne pouvez même pas imaginer à quel point cela me fait mal de dire ces quelques mots. En effet, Laure a besoin de temps pour réfléchir sur notre relation, son idéal de vie…, chose que je respecte tout à fait et qui nécessite qu’on prenne de la distance. C’est dur pour nous deux et je veux que personne ne dise du mal de Laure suite à cela.
Je ne sais pas comment Laure envisage ces prochains mois. Elle vous en fera part elle-même. Pour ce qui me concerne, je suis complètement brisé et je vais devoir me reconstruire ce qui ne s’annonce pas facile. A l’heure actuelle, je pense tout faire pour réembarquer au plus vite. L’avantage du bateau est que cela isole et devrait me permettre de réfléchir. La mer a en effet était pour moi une présence avec laquelle j’ai pu réfléchir sur moi tout au long de ma vie. J’espère qu’il en sera également le cas ici. Par ailleurs, je demande à chacun de respecter mon isolement. Je ne tiens pas à en parler avec qui que ce soit. Je ne compte pas faire de bêtises, rassurez-vous mais je tiens à couper tout lien pour le moment. Cela ne durera peut-être pas longtemps, peut-être que si, je n’en sais rien. Et pour le moment, je reste de l’autre côté du globe et ne cherchez pas à me faire rentrer dans l’urgence.

Voilà, jusqu’à maintenant la Nouvelle-Zélande était un pays magnifique. J’avoue qu’aujourd’hui, ce pays a pas mal perdu de son charme pour moi. Laure était l’amour de ma vie et je n’envisageai pas une fin de séjour comme cela. Mais voilà, le temps des cerises est pour moi terminé et je garde au cœur une plaie ouverte. Cela fait référence à une des 2 nouvelles chansons de Noir Désir que je vous invite tous à télécharger en toute légalité sur leur site.

Je vous ferai signe quand j’en ressentirai le besoin. A partir de maintenant, ce blog n’est plus le mien.

Jeff

PS : papa, maman, avant de complètement disparaître de vue, je vous appellerai en début de semaine. Ne vous inquiétez pas.

mercredi 12 novembre 2008

C'est partiiiii !

Lilas, Loulou, votre récompense promise pour le Grand Jeu "No Wiwi ahau" vient enfin de quitter la Nouvelle Zélande !!!
C'est LE cadeau du moment ; 100% écolo ; parfait pour l'hiver ; trouvable uniquement en Nouvelle Zélande (j'ai pas vérifié, mais j'en suis sûre) ; l'incarnation d'un pur style à lui tout seul. Bref, l'accessoire indispensable pour vous deux.

D'ici 15 jours environ, vous serez les heureux propriétaires de ce présent si convoité. Je sens que vous trépignez d'impatience...
Et moi, je ne peux résister à la tentation de vous demander une photo de vous, parés de ce nouvel atour. Photo potentiellement diffusable sur ce blog, of course...
:)

vendredi 7 novembre 2008

5 semaines en bateau

Contrairement aux personnages de Jules Verne, je ne pense pas avoir risqué ma vie lors de ce périple dans les eaux néo-zélandaises. Par contre, j’y ai découvert un monde peuplé d’étranges animaux, plus ou moins effrayants, et des hommes dont le mode de vie n’est pas des plus communs.

1 Giant petrel, oiseau très agressif

2 Thresher shark

3 Sunfish

J’ai embarqué sur le "Professor Mykhaylo Aleksandrov", navire ukrainien de 104 mètres employé par une compagnie néo-zélandaise. L’équipage était 100% ukrainien, majoritairement de Crimée. Ils travaillent 6 mois sur ce bateau puis rentrent chez eux en Ukraine pour 6 mois , avant de reprendre la mer. Des gens très sympas et chaleureux. Le seul gros problème pour moi a été que l’immense majorité d’entre eux ne parlait que russe ; rendant toute discussion limitée et laborieuse... Pour ce qui est de se consoler en regardant des films, j’ai assez vite laissé tomber. Autre difficulté liée à la culture ukrainienne, l’alimentation : féculents + poissons ou viandes blanches fris !!! Légumes et fruits, connaissent pas !!! Boisson favorite, la vodka bien sûr. Cependant, pas d’alcool à bord donc je n’ai même pas pu en profiter. J’ai seulement pu découvrir un breuvage assez sucré qui doit plus ou moins être de la vodka en début de fermentation. Je pense d’ailleurs que la vodka est ce qui manque le plus à l'ensemble de l'équipage (avant même leurs femmes ?!). D’ailleurs, comme ils rentrent en Ukraine dans quelques jours maintenant, ils ne parlaient que de cela : rentrer au pays, empocher l’argent et picoler de la vodka!!! Quant au confort offert par le bateau, ce n'était pas un palace 5 étoiles mais pas de quoi se plaindre non plus.

1- le bateau de survie (ouf, pas besoin de s'en servir)

2- ma cabine (qui a dit que c'est le bazar ? Laure, évidemment !!)

3- un petit coucher de soleil

Côté travail, en tant qu’observateur, j’étais à bord pour estimer la quantité des captures à chaque coup de chalut, espèce par espèce (principalement le maquereau et le Kingfish), et faire des prélèvements biologiques pour des scientifiques. Je prenais dans chaque chalut un échantillon de maquereaux, je déterminai l’espèce (il y a 3 espèces de maquereau ici), mesurais la longueur du poisson, l’étripais pour voir si c’était un mâle ou une femelle (et à quel stade de maturité) et enfin je lui ouvrais la tête pour prendre les otolithes, petits os qui permettent de déterminer l’âge de la bête. Bref, je leur faisais une carte d’identité avec une méthode que l’on peut qualifier de barbare !!!


1-chalut vidé dans les calles

2-mon "bureau"

3- femmelle, stade 3

Pour les amoureux des chiffres, le bateau faisait 104m, avec une puissance de 7000 chevaux. Lors de ce périple, j’ai observé environ 70 espèces de poissons. Le plus gros coup de chalut fut de l’ordre de 75 tonnes (et oui, cela fait pas mal de poissons !!!).

Pour les historiens, Professor M. Aleksandrov est un académicien russe qui a notamment travaillé pour améliorer la sécurité à bord des navires. Il est mort en 1993, année de naissance du bateau sur lequel j’étais.

Je ne sais pas quand sera mon prochain périple, mais en attendant, je savoure un peu mon retour sur terre et mes retrouvailles avec Laure (5 semaines, c’est vraiment long même si j’ai pu l’appeler quelques fois) et je fais une cure de salades, tomates, fraises… L’été approche ici et avec lui, les bons fruits bien juteux et sucrés. Vivement les cerises !!!

Aller, encore un jeu-devinette (et on augmente la difficulté): qui peut me trouver le nom de cet albatros et de ce poisson avec une ventouse sur la tête ?

dimanche 2 novembre 2008

Pukeko

Je crois que nous vous avions déjà présenté le Pukeko au début du voyage. Mais voici un retour sur image parce c'est l'une des originalités de la campagne néo-zélandaise, qu'on ne se lasse pas de sa drôle de démarche, et puis parce que je suis sûre que ça fera plaisir à Lilas (et non, Lilas, je ne pourrais pas te ramener un bébé Pukeko dans mes bagages...).



Et ici pour la seconde (parce que je tiens à l'objectivité de ce blog)

PS : regardez-les en High Quality, c'est quand même 'achement mieux

lundi 27 octobre 2008

No Wiwi ahau

Il y a de cela 15 jours, j’ai passé une journée dans le Marae (maison communautaire) de l’une des tribus maori proches de Wellington. La journée était dédiée aux services sociaux de la collectivité locale et le marae était à cette occasion ouvert à tout le monde.


Des visages, des figures

Je m’y suis rendue avec trois de mes « camarades de classe de maori », Brancka, Kay et Sabrina. Je passe sur les détails de la journée, elle fût bien trop remplie ! Mais voici en images les points forts de la célébration :

Différents groupes de jeunes ont fait des démonstrations de haka (danse) et de lutte traditionnelle au bâton. Les chants maoris sont habituellement très doux (ôtez vous de la tête les cris des rugbymen…), à plusieurs voix et accompagnés à la guitare. Les expressions corporelles – notamment celles véhiculées par le visage et les mains – sont aussi importantes que la mélodie ou les paroles.

1- Toutes petites, et déjà sûres de leurs gestes et de leurs voix

2- haka guerrier

3- affrontement au bâton

Certaines danses nécessitent l’utilisation de Poi (petits pompons tenus au bout d’une ficelle). Bien avant que les pompom girls ne débarquent dans les stades, ces danses permettaient aux femmes maoris de développer leur dextérité, la force de leurs bras et leur capacité à danser de façon parfaitement coordonnée (les Poi sont frappés régulièrement et marquent le rythme de la chanson ; pas le droit à l’erreur donc…).

A l’heure du repas, nous avons tous partagé le Hangi, repas traditionnel Maori. Le Hangi est un ensemble de morceaux de poulet, agneau, pomme de terre, kumara (la patate douce maori), courgette et de pain farci aux herbes. Le tout est cuit à la vapeur pendant des heures, dans un trou creusé dans le sol, grâce à des braises chaudes. A moins d’être invité par une communauté maori, il est presque impossible de déguster ce plat en Nouvelle Zélande…

Le hangi, façon moderne en barquette alu, mais quand même cuit dans la terre

L’après-midi, séance maquillage… J’ai eu le droit à mon tatouage maori traditionnel (pour les femmes, seules les lèvres et le menton sont tatoués). Les paillettes ne font pas partie de la tradition, mais que voulez-vous, c’était jour de fête !

Ok, je fais pâle figure à côté des Vrais...

Enfin, pour clore la journée, nous avons eu le droit à la visite de Piri Weepu, arrière dans l’équipe de All Blacks et fierté locale. En bonnes vraies-fausses groupies, Brancka et moi avons eu le droit à notre photo souvenir…


Piri, Brancka et moi

PS : une récompense pour celui capable de me traduire le titre...

samedi 11 octobre 2008

On a retrouvé la trace d'Harry Potter







Gare centrale de Wellington





Comme quoi, les kiwis ont de l'humour (mais quelques difficultés avec la logique mathématique...) !!

jeudi 9 octobre 2008

Tous aux abris !!

Aftershock: would you survive ? Voici le titre d'un drame télé, diffusé hier en prime time sur l'une des chaînes nationales. L'idée est de suivre la difficile survie de quatre groupes de personnes à Wellington, pendant et après la destruction de la ville par un tremblement de terre de magnitude 8.2 et par le tsunami qui suit. Enfin, l'idée, c'est surtout de se faire peur (et ça marche plutôt bien).

Les tremblements de terre sont ici un gros problème et une vraie réalité (une réalité tout court, quoi) . La terre tremble tous les jours, même si la plupart du temps, nous ne le sentons pas. Wellington est entièrement construite sur une faille très active. Et depuis que nous y sommes installés, nous aurions pû ressentir 2 ou 3 tremblements (mais avec ma sensibilité ultra développée, je les ai toujours confondus avec de grosses bourrasques de vent...).

Les autorités ont bien raison de constamment sensibiliser les habitants du coin à l'éventualité d'un gros tremblement de terre. Mais je reste assez dubitative sur la portée éducatrice de ce docu-catastrophe...

PS : la magnitude de 8.2 sur l'échelle de Richter n'a pas été choisie au hasard ; c'est la magnitude estimée du dernier grand tremblement de terre qui a secoué Wellington, en 1855. Il a créé un mouvement vertical de 2 à 3 mètres, permettant par la suite l'expansion de la ville.J'arrête là, sinon je vais finir par inquiéter mes grands parents...

mercredi 1 octobre 2008

Au sud du nord

Le temps nous était compté, mais avant le départ de Jeff nous avons quand même pu profiter d’une escapade de 3 jours « en n’amoureux ». Direction : l’extrémité sud de l’Île du Nord. La région, connue sous le nom de Wairarapa (oui, vous aussi un jour vous vous y ferez, aux noms Maoris…), est réputée pour ses vignobles et la beauté de ses côtes. Hummm, trois jours glandouille en perspective !

Nous avons rayonné autour de Martinborough, petite bourgade plutôt charmante (en comparaison du reste des villes néo-zélandaises du moins), haut-lieu de production et de dégustation du fameux Pinot Noir. On nous avait promis des vignobles à perte de vue ; on en a finalement très vite fait le tour. Et puis, comme c’était pas la saison, il n’y avait ni feuilles ni grappes de raisin sur les pieds de vignes… Pas très joli, au final. Boaf, pas grave, on s’est rabattu sur les tonneaux ! Le vin, lui, était à la hauteur !

La dernière journée passée dans la région a été splendide. Imaginez. Pas un pet de vent après 3 jours de tempête. Un soleil qui tape fort. Les T-shirts et la crème solaire enfin de retour. Une mer bleue et plate. Un ciel pareil (enfin, pas « plat ». Bleu quoi). Des couleurs hyper contrastées. Un village de pêcheur durant l’heure de la sieste. Un phare au bout de nulle part. Et des phoques étalés au soleil, qui vous regardent d’un œil glauque quand vous vous approchez. Le bonheur, hein ?!!

Sur la route vers le cap, nous nous sommes arrêtés pour marcher quelques heures au cœur des Putangirua Pinnacles. Ces formations rocheuses impressionnantes ont aussi été le décor de l’une des scènes du Seigneur des Anneaux (« le chemin des morts », lorsque nos 3 héros préférés partent à la recherche des fantômes). On ne le savait pas avant de partir, et c’était plutôt rigolo de se retrouver là !


1- Jeff, presque aussi mal rasé qu'Aragorn (ou serait-ce Gimli ?)
2 et 3- Wahou, c'est bôôô

Nous avons passé cette dernière journée avec Sophie, une suédoise sympathique un peu perdue, sans voiture dans ce coin paumé. Raté pour la dernière journée en tête-à-tête, mais c’est pô grave, c’était très sympa quand même !


1- Les vieux tracteurs sont reconvertis en "tire-bateaux"
2- Oui, j'assume.

dimanche 28 septembre 2008

Changement d'heure

Hop, juste un petit post en passant, pour vous dire que nous sommes passé à l'heure d'été ce week-end ; nous sommes désormais en avance de 11 heures sur vous, jusqu'à ce que vous changiez d'heure à votre tour (ce qui nous ammènera à 12)...

Demain, j'entre dans mes fonctions de femme de marin délaissée, et de chasseuse d'emploi acharnée. Génial. Merveilleux. J'ai hâte.
Bises !!

vendredi 19 septembre 2008

Nelson

Je suis de retour sur Wellington et j’y ai retrouvé Laure. Fiou, cela fait du bien de se retrouver après un mois de séparation. Et je rassure tout de suite Louis, même si elle a sans doute (et elle a eu bien raison) profité de son passage en France pour boire des apéros et manger les bon produits français, Laure n’a pas pris le moindre kilo. Quelle perf !!

Pour ce qui est de ma formation, elle s’est bien passée. C’était plus ou moins intéressant suivant les cours, mais bon, globalement, cela valait le coup. Au programme, sécurité à bord des navires, techniques de pêche, sécurité sanitaire, initiation aux poissons, oiseaux, mammifères et coraux néo-zélandais, prélèvement biologique… Je ne rentre pas dans les détails mais il y a eu quelques exercices rigolos comme extinction d’incendie, nage en combinaison de survie, manipulation du radeau de survie, allumage de feux de détresse.



Pendant ces 3 semaines, je n’ai malheureusement pas eu beaucoup de temps pour découvrir cette partie de l’île du sud. J’ai tout de même pu faire quelques balades le dimanche sur les hauteurs de Nelson et j’avoue, ce n’est pas mal.



Nelson...



... et son bord de mer.


Ayant réussi l’examen de fin de formation, la prochaine étape est un embarquement sur un gros navire de pêche. Si cela se confirme, cela devrait être avec un équipage russe pour pêcher du Jack mackerel. Promis, je vous raconterai. La seule chose triste avec cela est que je serai du coup encore séparé de ma petite Laure…

dimanche 14 septembre 2008

Back !

Nouveau record personnel !! Durant ces 27 derniers jours, j'aurai parcouru 41 258 kilomètres (en excluant les "petits trajets quotidiens") !!! Soit un peu plus que le tour du monde (40 708 km à l'équateur, il paraît)...
Et pour ceux qui aiment les précisions, ça donne dans le détail :
- 997 km parcourus en Nouvelle Zélande ;
- 2067 km en France ;
- et 38 104 km de vols intercontinentaux !!

Voilà, tout ça pour vous dire que je suis bien arrivée en Nouvelle Zélande, contente de retrouver mon "chez-moi" kiwi, claquée, mais ravie de ces 3 semaines en France !

Et ce qui est encore mieux, c'est que comme vous y étiez avec moi, je n'ai même pas besoin de vous le raconter ! :)

Bises à tous !
L

jeudi 21 août 2008

La séparation

Et oui, depuis mardi dernier, je suis seul en Nouvelle-Zélande. Ma douce Laure est repartie en France pour assister notamment au mariage de Claire et Cédric. A l’heure qu’il est, elle est dans l’avion et devrait atterrir dans quelques heures à Paris. De mon côté, je suis resté car je commence un travail d’observateur embarqué pour le ministère des pêches le 27 août prochain.

Mais bon, avant de nous quitter pour un mois, nous nous sommes offerts un bon gros week-end en amoureux. Nous avons repris la route vers le nord, direction Waitomo. Pour ceux qui ne se rappelle pas, c’est un endroit réputé pour son très grand nombre de grottes. La dernière fois, nous en avons visité deux. Cette fois, nous y sommes allés pour faire de la spéléo : descente en rappel (30m environ pour le plus gros), marche souterraine, baignade dans la rivière souterraine pour passer dans les endroits les plus étroits. Le tout éclairé par une lampe frontal. L’eau était un peu fraîche mais cela a été un vrai bonheur et je compte bien en refaire en France ou ailleurs. Pour plus de détails sur le parcours que l’on a fait, vous pouvez suivre ce lien. En effet, la compagnie vendaient les photos à un coût un peu élevé à notre avis et comme les souvenirs sont dans la tête...


On a retrouvé Néiva dans notre backpacker de Te Kuiti. Enfin, son cousin, mais il chouine aussi pour avoir à manger

Mais bon, j’ai tout de même quelques photos à vous montrer. Pas la peine de vous dire où, vous allez reconnaître. Après avoir déposé Laure au bus pour Auckland, j’ai en effet profité de la très belle journée de mardi, entre deux averses de neige, pour prendre la "desert road" en redescendant sur Wellington. Attention les yeux, cela va faire mal.

Et oui, toujours ces deux mêmes volcans. Cela aurait été une bonne journée pour y faire du ski.

Je profite également de ce post pour vous montrer quelques compagnons trognons aperçus de l’autre côté de la baie de Wellington lors d’une précédente balade.



Bon, je vous laisse. Je ne sais pas si je pourrai faire un nouveau post d’ici le prochain mois car je pars dans l’île du sud pour ma formation. Donc si je suis muet, pas d’inquiétude.


PS : Laure, reviens vite, tu me manques déjà beaucoup !!!

 

pour voir